Frédéric Kalitynski , fondateur-gérant de la société Envea depuis 2006
Enfin, au-delà de son utilisation quotidienne par les entités « métier », le Référentiel Patrimonial constitue la source de données pour tous les outils de pilotage et de restitution :
- Tableaux de bord, BI, alertes, …
- Schéma Directeurs Immobiliers, Schémas Pluriannuels de Stratégie Immobilière, etc
Il constitue alors l’entrepôt de données duquel sont directement extraites les données nécessaires à la production d’indicateurs ou de fichiers d’échanges.
Depuis l’acquisition de données existantes jusqu’au pilotage/reporting, les avantages d’un Référentiel Patrimonial Commun, qu’il soit sous la forme d’un BOS ou d’un entrepôt de données sont évidents :
- Une seule interface entre chaque composant logiciel du SIP avec le RPC plutôt que de multiples interfaces entre composants
- Le RPC n’est captif d’aucun logiciel ou prestataire. Le changement d’un logiciel ou le départ d’un prestataire, n’affecte pas le SIP, le RPC reste entre les mains de l’organisation propriétaire. Seule l’interface entre le nouveau logiciel ou prestataire avec le RPC est à recréer.
- La définition d’un RPC, son format et son organisation peut être reproduite et/ou mutualisée, par exemple entre collectivités locales, universités, hôpitaux …
- Le RPC constitue de fait l’entrepôt de données qui peut dialoguer avec les organismes extérieurs (OPERAT, RT-OAD, Chorus, etc) ou avec les outils décisionnels de l’organisation, qu’ils soient dédiés à la gestion patrimoniale ou non…
L’organisation reste maîtresse de la définition des données et des interfaces qu’elle réalise par exemple avec ses propres logiciels.